DAMPT Jean (1855-1946)

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JEAN DAMPT – “BUSTE DE BÉBÉ RIANT”, 1894

“BUSTE DE BÉBÉ RIANT”, 1894
Silvered bronze
Signed and dated 1894

Height: 20 cm.
Width: 26.5 cm.

Exhibition
Musée des Beaux-Arts, Dijon, France, Jean Dampt. Tailleur d’images,
November 7, 2025-March 9, 2026

Bibliography
Musée des Beaux-Arts, Dijon, France, Jean Dampt. Tailleur d’images,
November 7, 2025-March 9, 2026, ill. in the exhibition catalogue p.125

JEAN DAMPT – “COLOMBINE” FIVE LIGHT HANGING FIXTURE, 1900

“COLOMBINE” FIVE LIGHT HANGING FIXTURE, 1900
Gilt bronze and molded satinated glass, four glass flower buds
96 x 75 cm.

Exhibition
Musée des Beaux-Arts, Dijon, France, Jean Dampt. Tailleur d’images,
November 7, 2025-March 9, 2026

Bibliography
Edith Mannoni, Meubles et ensembles style 1900, Charles Massin éd., Paris, 1968, ill. p. 11
Wolf Uecker, Art Nouveau and Art Deco Lamps and Candlesticks, Abbeville Press Publishers, New York, 1986, ill. p. 44
Musée des Beaux-Arts, Dijon, France, Jean Dampt. Tailleur d’images,
November 7, 2025-March 9, 2026, ill. in the exhibition catalogue p. 66, 154

JEAN DAMPT – “Tête de bébé à la pomme”, 1895

“Tête de bébé à la pomme”, 1895
Carved marble
Signed and dated 1895
26.5 cm. high

Exhibition
Société Nationale des Beaux-Arts, 1895, n. 26 in the exhibition catalogue
Société Nationale des Beaux-Arts, 1908

Bibliography
Roger Marx, Les Salons de 1895, Gazette des Beaux-Arts, II, ill. p. 113
“M. Dampt, artiste consciencieux et délicat, qui a le mérite, non seulement de modeler
la cire ou la terre, mais aussi de façonner toute matière de sa propre main, me touche
davantage, en somme, dans ses portraits d’enfants, savants et naïfs tout ensemble,
dont il nous montre trois spécimens excellents en argent, en bronze et en marbre”.
L. de Fourcaud, Les Arts décoratifs aux Salons, Revue des Arts Décoratifs, 15ème année,
1894-1895, p. 392
“M. Dampt, artiste précis et ciseleur minutieux, est un des maîtres de la petite sculpture.
Le bébé rieur qu’il nous présente cette année est presque de grandeur nature, mais quel
délicieux morceau de sculpture intime et familière ! C’est la vie même, avec toute sa
fraîcheur naïve, qui éclate dans ces yeux malins, ces joues fermes, cette bouche naïve
vers laquelle se dirige une menotte potelée, et quelle admirable souplesse dans l’exécution
de ce marbre gris rose amoureusement caressé !” Paul Vitry, La sculpture aux Salons, Art et Décoration, June 1903, p. 199

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