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ROYAL COPENHAGEN – HANS HENRIK HANSEN – VASE, 1926

VASE, 1926
Porcelain with celadon glaze decorated with a frog, flowers and leaves in high relief
Signed HHH, bearing three waves and dated 7-4-1926
14 cm. high

Hans Henrik Hansen was sculptor at Royal Copenhagen from 1908 and designer from 1926 to 1965

C.G HALLBERG, STOCKHOLM – MARIUS HAMMER, BERGEN – BOWL, CUP

SMALL BOWL, 1898
Plique-à-jour enamel and silver, resting on four feet
Signed CG Hallberg Stockholm 1898
10.5 cm. diameter

VIKING LONGSHIP OPEN SALT 

Plique-à-jour enamel and silver
Signed Marius Hammer Bergen
A similar cup at the Musée des Arts décoratifs in Budapest.
9 cm. long

Both items made at Marius Hammer in Bergen and retailed by CG Hallberg in Stockholm.

Provenance
Antikumakare Ingvar Mansson, Sweden

FRANCOIS-EUGENE ROUSSEAU – APPERT FRÈRES – “CARP” VASE, BEFORE 1885

“CARP” VASE, BEFORE 1885
Quadrangular shape, transparent blown-molded glass with crackling and interspersed red and
green inclusions
Decoration of a Japanese carp leaping through foam
Unsigned

Height: 30 cm
The unsigned pieces are by Eugène Rousseau. Léveillé continued to produce this model in thinner glass.

Exhibition
Union Centrale des Arts Décoratifs, Paris, 1884

Bibliography
Revue des Arts Décoratifs, 1884-1885, rep. p. 194a.
Glas des Art Nouveau, Die Sammlung Gerda Koepf in Kunstmuseum Düsseldorf, éditions München, New York, similar vase ill. p. 27
Siegfried Wichmann, Art Nouveau floral, éditions Chêne, Paris, 1896, ill. p. 103

1889 Exposition universelle.
« Les colorations produites par les oxydes métalliques sont très variées, sans que pour cela aucune nuance nouvelle soit obtenue ; les améliorations consistent plutôt dans la façon dont ces teintes de verre ont été harmonisées et dans la façon dont elles ont été introduites, appliquées. On a pu, en effet, produire des effets nouveaux par la dissémination de verres pulvérisés, de diverses grosseurs et de diverses teintes, dans l’épaisseur de la pièce de verre, d’après le mode de décoration imaginé par M. Rousseau dès 1884 (exposition des arts décoratifs), ce qui permet d’imiter les pierres gemmes que l’on trouve dans la nature, sous les formes les plus variées et les plus brillantes.
Employé avec discernement, avec discrétion, ce mode de décoration produit des effets remarquables jusqu’au moment où l’introduction trop considérable de verres opaques finit par détruire la transparence du verre. Des tailles plus ou moins profondes, décorées d’émaux, ou dorées après coup, complètent ce décor quelquefois un peu excessif.
M. Rousseau-Léveillé s’est attaché également à perfectionner les formes et la matière des cristaux de luxe. Quelques-unes de ces pièces aux profils élégants et aux riches montures d’or et d’argent, sont de véritables œuvres d’art qui méritent d’être signalées.
Dès 1867, M. Rousseau a commencé à faire fabriquer d’après ses dessins, ses modèles, d’après ses indications, des verres de couleur et des pièces de fantaisie en deux tons non superposés, mais soudés l’un à l’autre, avec lesquels il obtenait des effets absolument nouveaux, « neutres », des pièces de verre dont la partie supérieure était en verre de couleur tombant en goutte sur le neutre.
Ensuite vinrent les pièces colorées avec des reliefs apparents, mais de couleur différente du fond, puis vinrent les imitations de pierres dures, agate, jade, strass.
Une pièce, remarquée en 1878, fut créée par Rousseau, qui figurait encore cette année à l’exposition de M. Boucheron, pièce de strass de grande dimension qui fut considérée en 1878 comme un véritable tour de force.
Le succès de Rousseau fut éclatant à l’Exposition des Arts décoratifs de 1884 ; c’est là, si nos souvenirs sont exacts, que figurèrent pour la première fois des verres « craquelés » intérieurement. Ces craquelures donnaient aux objets de verrerie une originalité et une puissance de réfraction qui furent très remarquées.
En 1885, la maison Rousseau devint la maison Rousseau-Léveillé. M. Léveillé, guidé par M. Rousseau et s’inspirant des idées de son prédécesseur, continue la tradition artistique de cette maison et fabrique des imitations de sardoine, de jade, d’agate, d’améthyste avec application d’oxyde et d’émaux colorants, soit en relief, soit dans le corps des pièces.
S’inspirant de l’art japonais, M. Léveillé-Rousseau, par l’emploi des acides combinés avec la molette du graveur, est arrivé à présenter à l’Exposition de 1889 certaines pièces originales qui montrent le parti qu’on peut tirer de l’assemblage des différentes espèces de verre travaillées après coup. Ainsi, par exemple, je puis citer ici un grand vase avec poissons qui est en verre neutre avec des colorations d’oxyde d’urane et de cuivre à l’intérieur ; cette doublure a été retournée deux fois sur elle-même, afin de permettre à la gravure de produire des tons différents. Cette pièce, de grande dimension, représente beaucoup de difficultés vaincues en raison des bouillons renfermés entre la pièce et la couverte.
Les agates saupoudrées d’oxyde de cuivre sur lesquelles on a appliqué des colorations jaunes ont permis d’obtenir des vases qui ont été gravés d’abord à l’acide et ensuite à la roue, en laissant le fond mat et les reliefs brillants.
Les pièces en imitation de sardoines foncées, taillées à rinceaux avec colorations extérieures, sont à remarquer, puis aussi des agates avec bord râpé, une coupe couleur fleur de pêcher et un vase méplat avec tête renaissance posée sur feuille d’or.
Ces objets, nouveaux comme décorations, indiquent que cet art peut encore se développer, « s’affiner » en donnant au verre toute sa valeur comme forme, comme coloration, en arrivant à supprimer complètement la décoration extérieure, – or ou émail, – cela en combinant les colorations, les graduant et en laissant au verre toute sa transparence, ce qui est sa qualité essentielle ». Jules Henrivaux, La verrerie à l’Exposition universelle de 1889, Revue des Arts Décoratifs, 10ème année, 1889-1890, pp. 171 à 173.

JOSEPH ET PIERRE MOUGIN – “ALGUES” JUG, CIRCA 1900

“ALGUES” JUG, CIRCA 1900
Patinated stoneware with seaweed decoration in low relief, the handle shaped like a naiad
Numbered 112 J in relief under the base and Mougin / Nancy
Height: 23 cm.

Bibliography
Jacques Peiffer, Les frères Mougin / Sorciers du grand feu, éditions Faton, Paris 2001, ill. p. 47

JULES DALOU – SUSSE FRERES – “LE PAYSAN REMONTANT SA MANCHE” OR “LE TRAVAIL”

“LE PAYSAN REMONTANT SA MANCHE” OR “LE TRAVAIL”
Bronze sculpture with shaded brown patina.
Signed and bears the circular Susse stamp, M, as well as the mark of the Syndicat des Fabricants de Bronze 1818 Unis France. Marked Susse Frères éd. Paris.
Height: 30 cm.

Bibbliography
Pierre Kjelberg, Les bronzes du XIXème siècle – Dictionnaire des sculpteurs“, les éditions de l’amateur, 1996, ill. p. 246
Pierre Cadet, Susse Frères – 150 years of sculpture, 1837 – 1987, edited by Susse frères, ill. p. 193, on the plate of the 1905 catalogue

MANUFACTURE NATIONALE DE SEVRES – JULES DALOU – “TERRASSIER A LA PELLE”, 1907

“TERRASSIER A LA PELLE”, 1907
Beige patinated biscuit
Signed and bears the triangular stamp dated 1907
Height: 18.2 cm.

Bibliography
Art et Décoration, September 1903, p. 274: Model illustrated in terracotta
Le Biscuit de Sèvres – Recueil des Modèles Modernes de la Manufacture de Sèvres, published by Emile Bourgeois et Geo. Lechevallier-Chevignard, tom II, edited by Pierre Lafitte & Cie, ill. pl. 11,
référence n. 1355
Les œuvres de la Manufacture nationale de Sèvres – Tome II, La Sculpture moderne, ill. pl. 56, n. 1532

ALPHONSE DEBAIN – ADOLPHE TRUFFIER – SERVING SET, CIRCA 1900

SERVING SET, CIRCA 1900
Silver comprising:
12 spoons, 12 forks, 12 dessert knives. Decor of ginko flowers.
Modern fitted box
With silversmith and French Minerva mark
Extra: 3 spoons, 2 forks, 2 knives

Bibliography
David Allan, Le couvert et la coutellerie de table française au XIXème siècle, éditions Faton, 2007, a serving set ill. p. 50, n. 31

MANUFACTURE NATIONALE DE SEVRES – VASE, 1900

VASE, 1900
Flamed porcelain.
Bearing the manufacturer’s stamp for 1900 and decoration for 1901.
Height: 18 cm.

Bibliography
Vases with a similar shape illustrated in L’Art Décoratif aux Expositions des Beaux-Arts, 1905, pl. 66, 68 & 79.

450 €

WALL SHELF, CIRCA 1900

WALL SHELF, CIRCA 1900
Carved oak with a repoussé leather panel featuring a mountain landscape design.
Bearing a monogram.
55 x 78 cm.

Etagère murale en chêne sculpté, panneau en cuir repoussé à décor de paysage montagneux.
Porte un monogramme.
55 x 78 cm

1 800 €

EMILE BERNAUX – GRANDFATHER CLOCK, CIRCA 1910

GRANDFATHER CLOCK, CIRCA 1910
Carved wood with bronze handles
Bearing the artist’s monogram on the upper door and signed in full on the side
222 cm. high
53 cm. wide
32 cm. deep

Pendule de parquet, bois sculpté, poignées de portes en bronze.
Monogramme sur la porte supérieure.
Signée en toutes lettres sur le côté.
Hauteur : 222 cm
Largeur max : 53 cm
Profondeur : 32 cm

3 000 €

LOUIS MAJORELLE – GUERIDON, CIRCA 1900

GUERIDON, CIRCA 1900
Walnut, decorated with inlaid water leaves patterns
Inlaid signature L. Majorelle
Height: 77 cm.
Diameter: 77 cm.

Grand guéridon triangulé, en noyer reverni, piétement tripode végétal sculpté de boutons floraux supérieurs, couronnés de larges éléments rainurés maintenant la ceinture ondée, plateau triangulé à large bordure, formant bassin à décor de grands motifs marquetés de feuilles d’eau.
Signature marquetée L. Majorelle.
Hauteur : 77 cm
Diamètre : 77 cm

9 000 €

EMILE GALLE – GUERIDON, CIRCA 1900

GUERIDON, CIRCA 1900
Walnut, the top inlaid
Signed
Height: 73 cm.

Guéridon tripode en noyer, plateau en marqueterie, pieds fuselés
Signé
Hauteur : 73 cm
Diamètre : 53,5 cm

4 500 €

LOUIS MAJORELLE – PSYCHE, CIRCA 1900

PSYCHE, CIRCA 1900
Psyche composed of a triptych, flanked by two drawer cabinets.
Bronze handles with honeysuckle motifs
Height: 206 cm.
Width: 159 cm.

Psyché composée d’un triptyque flanqué de deux caissons à tiroirs
Poignées en bronze à motifs de chèvrefeuille
Hauteur: 206 cm
Largeur: 159 cm

2 500 €